Le blog de l\'UPR-Marseille

Le blog officiel de la campagne présidentielle de François Asselineau

Découvrez le tout nouveau blog de François Asselineau, président de l'UPR et candidat à l'élection presidentielle de 2012.

 

www.asselineau2012.fr

 

 

Voici son pré programme:

 

 

Le programme présenté ci-dessous n’est qu’un aperçu du programme précis que l’UPR présentera aux Français le moment venu, dans la perspective des échéances de 2012. Bien qu’encore incomplet, ce programme comporte les éléments phares de la stratégie de l’UPR pour la France, ceux-ci s’inscrivant en rupture avec l’ensemble de la classe politique française.

 

1 – Un « programme » est inséparable d’une analyse du monde et d’une vision de l’avenir de la France


Le premier point essentiel, c’est qu’un « programme », pour avoir du sens, ne doit pas être une avalanche de propositions sorties d’un chapeau, comme les dizaines de foulards de couleurs qu’un prestidigitateur sort à la queue leu leu de son haut-de-forme pour épater le public. L’UPR est un mouvement politique qui a le sens de l’État, qui s’est créé pour sauver la France du désastre et qui respecte l’intelligence de nos compatriotes. Le programme de l’UPR ne saurait donc reprendre de façon irréfléchie les dernières idées à la mode, pour en faire un pot-pourri de « 99 » ou « 101 » propositions, dont la seule idée directrice consiste à flatter tour à tour les différents publics dans un but clientéliste.

 

Pour l’UPR, un véritable programme doit s’inscrire dans une analyse précise, lucide et sans complaisance du monde actuel, et dans une projection de ce que l’on juge souhaitable pour le monde, pour la France et pour l’avenir des Français. Plutôt que de lancer une centaine de propositions disparates, comme le font tous les candidats à l’élection présidentielle, l’UPR estime donc qu’il faut commencer par le commencement, c’est-à-dire par expliquer aux Français :

 

- quelle est la situation actuelle, en quoi elle pose problème et ce que l’on propose pour y remédier ;

 

- quelle est la vision que nous avons du futur souhaitable, non seulement pour la France et pour les Français, mais aussi pour l’ensemble du monde, tant il est vrai que la France constitue encore une référence pour tous les peuples de la Terre.

 

2 – Seule l’UPR fait le bon diagnostic sur le déclin de la France


Un médecin commence toujours par établir le bon diagnostic avant de prescrire des soins. L’UPR procède de la même façon : elle veille d’abord à établir le bon diagnostic sur les vraies raisons du désastre actuel puis elle en informe les Français, en adultes, pour leur indiquer les bons remèdes.

 

Sur la base de preuves irréfutables, que d’ailleurs aucun de nos adversaires ne conteste, l’UPR diagnostique ainsi que la France et tout le continent européen sont victimes d’une stratégie de domination, perfidement nommée « construction européenne », conçue par les États-Unis d’Amérique depuis 1945 à leur profit. L’UE et l’OTAN sont les deux faces de cette stratégie impériale américaine, qui vise à mettre hors-jeu l’ONU, à coloniser l’Europe, et à dominer le monde par des guerres illégales.

 

C’est pourquoi prétendre résoudre les problèmes de la « construction européenne » en gardant le silence – comme le font tous les partis politiques français –, sur le fait que les États-Unis la pilotent en sous-main, c’est condamner les Français à ne rien comprendre. Et c’est leur proposer sciemment des remèdes inefficaces.

 

3 – L’UPR a des remèdes précis, qui exigent tous la sortie de l’UE

 

L’UPR n’est pas un parti girouette qui change sans arrêt ses propositions selon la dernière actualité.

 

Nos 7 remèdes prioritaires constituent à eux seuls le changement politique le plus puissant qui ait été présenté aux Français depuis 1958.


Les voici :

 

1. la sortie urgente de l’euro, dont les effets sont désastreux dans tous les domaines et dont la désintégration est inéluctable,

 

2. la réattribution à la Banque de France de son rôle normal de financement de l’État et des collectivités locales, sans quoi tout contrôle de l’endettement public est voué à l’échec (abrogation de l’article 25 de la loi n°73-7 du 3 janvier 1973),

 

3. la réappropriation par la France de son droit inaliénable à défendre elle-même ses propres intérêts à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), sans laisser cette tâche, cruciale pour contrer les délocalisations, à la Commission européenne qui piétine nos intérêts vitaux,

 

4. le rétablissement effectif du contrôle des flux de capitaux, de marchandises, de services et de personnes, seule mesure de sauvegarde permettant de donner un coup d’arrêt à la débâcle économique et sociale en cours,

 

5. la renationalisation de notre politique étrangère, accompagnée d’une sortie de l’OTAN et du retrait de nos troupes engagées dans des guerres juridiquement illégales, moralement honteuses, et très meurtrières (comme en Afghanistan par exemple),

 

6. la sortie au plus vite de l’Union européenne car toutes les mesures précédentes, vitales pour redresser la France, sont toutes contraires aux traités européens. Cette sortie est parfaitement possible : l’article 50 du traité sur l’UE l’a prévue,

 

7. le lancement d’un grand programme de logements sociaux. Il sera financé par notre sortie de l’UE, qui nous fera économiser au moins 10 milliards d’euros par an, estimation minimale du coût net de l’Union européenne pour la France. Nous résoudrons ainsi les problèmes de logement des Français tout en procédant à une relance économique créatrice d’emplois.

 

Rappelons ici qu’un programme plus détaillé, comportant notamment d’autres mesures structurelles, sera présenté par l’UPR le moment venu pour les échéances de 2012.

 

4 – L’UPR allie compétence technique, bon sens et modération


L’UPR dérange les tenants de l’ordre européiste car c’est un mouvement sérieux, qui ne verse dans aucune outrance, dont les analyses techniques sont très fiables, et dont l’action s’inscrit dans quinze siècles d’indépendance nationale et deux siècles de tradition républicaine.

Vouloir sortir de l’UE n’est en rien une idée folle ou extrémiste : les deux États d’Europe où l’on vit le plus heureux, selon l’ONU, sont la Suisse et la Norvège, qui sont hors de l’UE. La folie et l’extrémisme sont au contraire le fait des européistes, qui violent les référendums et veulent ligoter la France dans une construction ingérable de 27 États aux intérêts contradictoires dans la plupart des domaines.

 

Mieux encore, la sortie de l’UE permettra à la France de redevenir l’un des États les plus respectés de la diplomatie mondiale et dans de nombreuses organisations internationales, à commencer par l’ONU, le Conseil de l’Europe et la Francophonie.

 

Affirmer que sortir la France de l’UE l’isolerait du monde est un énorme mensonge : c’est au contraire son appartenance à l’UE/OTAN qui l’isole et salit son image aux yeux de 80 % des peuples du monde !

 

5 – L’UPR garantit la mise en œuvre de ses propositions

 

L’UPR pourra mettre en œuvre ses propositions parce que les Français peuvent les décider tout seuls, sans demander d’autorisation à quiconque. C’est là une différence capitale avec TOUS les autres partis politiques, qui multiplient les promesses (« Europe des patries », « Europe sociale », « euro monnaie commune », etc.) sans jamais préciser que leur réalisation dépend du bon vouloir de 26 autres États… qui n’en veulent pas, et aussi de l’accord tacite des États-Unis d’Amérique qui en veulent encore moins !

 

À l’UPR, nous démontrons que tous ces projets d’autre Europe ou d’autre euro sont des leurres : l’opposition des 27 intérêts nationaux et l’alignement d’une majorité d’États membres derrière les États-Unis bloquent tout changement réel de l’Europe. On le constate sans arrêt sur tous les sujets (monnaie, social, guerre en Irak, OGM, délocalisations, marché transatlantique, etc.).

La sortie de l’UE n’interdit évidemment pas du tout les coopérations internationales, avec des pays européens ou non européens. Au contraire, elle les rendra plus claires et efficaces.

 

6 – L’UPR rassemble vraiment au-dessus du clivage droite-gauche

 

Presque tous les partis politiques affirment vouloir rassembler les Français. Mais aucun ne s’en donne les moyens puisqu’ils adoptent tous des alliances ou des discours qui divisent les Français selon les réflexes droite-gauche.

 

Tel n’est pas le cas de l’UPR qui ne s’intéresse qu’à rendre aux Français leur démocratie et la liberté de la France. C’est pour cela que l’UPR rassemble des Français de tous les bords. L’UPR est un parti de libération nationale, il n’a donc pas vocation à anticiper sur tous les choix que les Français feront démocratiquement une fois qu’ils auront recouvré leur souveraineté et leur indépendance.

 

7 – À l’UPR, pas d’ambiguïtés politicardes ni de financements discrets


Les Français attachés à la souveraineté de la France sont ulcérés lorsqu’ils découvrent que des politiciens qui critiquent férocement l’Europe dans les médias sont en réalité de mèche avec l’UMP ou le PS, dont ils obtiennent des financements discrets ou l’absence de concurrent dans leur circonscription législative.

 

Tous les membres de l’UPR, dirigeants compris, s’engagent quant à eux à ne jamais fricoter avec un parti européiste : ce principe redonne clarté et dignité au combat politique. Tous ceux qui font connaissance de l’UPR approuvent ce principe à 100% !

 

L’UPR n’a rien à voir non plus avec tous ces partis où l’on répartit les rôles pour « ratisser large » : tel dirigeant se dit pour l’euro, tel autre pour sa sortie, un troisième condamne la rentrée dans l’OTAN tandis qu’un quatrième affiche ses convictions atlantistes. Souvent même, c’est le principal dirigeant qui joue les caméléons, en changeant son discours sans la moindre cohérence et en multipliant les contradictions, rien que pour satisfaire chacun de ses interlocuteurs, chacun de ses publics.

 

L’UPR n’est pas ce genre d’auberge espagnole peuplée de caméléons et d’opportunistes : tout le monde y dit et y écrit la même chose tout le temps et à tout le monde, conformément à notre Charte fondatrice.

 

8 – À l’UPR, nous nous battons pour la France, pas pour des places


L’objectif de l’UPR n’est pas de permettre à tel ou tel de ses responsables de décrocher un poste de député ou de ministre pour servir de caution « gaulliste » ou « républicaine » dans un gouvernement européiste de droite ou de gauche.

 

L’UPR est un mouvement digne et loyal qui veut rendre à la France sa souveraineté et sa démocratie, point. En adhérant à l’UPR, vous pouvez être enfin sûr de ne pas être trompé.

 

François Asselineau sera candidat à la prochaine élection présidentielle de 2012 et l’annoncera officiellement, en même temps que son programme, à l’automne.


 

 



27/10/2011

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